Quiero.una.historia.verdadera - Je cherche quelqu'un qui me ferait le printemps.

Au revoir.

Sat, 13 Aug 2011 12:20:00 +0200

La vie est ailleurs. Plus ici.

Même quand tu seras parti je crierai que c'est toi ma religion.

Thu, 11 Aug 2011 16:37:00 +0200

Ce qui est excitant lorsqu'on est en couple,
c'est se rendre compte qu'on ne fait plus
les choses uniquement pour soi.

Dans ton lit je me sens aussi fort qu'un tyran mais d'une fois que nous y sortons j'ai un peu peur de nous.

Tue, 09 Aug 2011 17:42:00 +0200

Je ne sais pas trop quoi te dire tu sais, mise à part que ça devient sérieux, que mon canard wc est peut-être de trop. C'est vrai aussi que je pense plus à toi qu'à moi quand je vais faire les courses... Mon Amour, ne te berne pas le thé froid, si je l'ai acheté, c'est uniquement parce que je sais que tu aimes ça. Si je t'attends, c'est juste que j'adore quand tu me dis que je suis beau, si je reste c'est pour te donner toujours un peu plus envie de moi, si tes bras je les veux autour de moi c'est que pour la première fois de ma vie je sens enfin que quelqu'un me protège comme une forteresse... Cependant plus on discute, plus on se parle, plus on se regarde je me demande, stupidement peut-être, si nous sommes vraiment faits pour être ensemble, si on ne se tuera pas, si on ne se manquera pas trop. Parce qu'égoïstement j'ai envie, pour une fois, que ce ne soit pas moi qui mène la cadence, enfin dans ton lit oui j'admets que je suis un homme, mais lorsque je suis loin de toi, j'aurais envie de faire des crises, des caprices. Alors je me demande oui, je me questionne si nous avons un avenir proche ensemble parce que je suis tellement fatigué tu sais de courir après du faux amour que là, si demain tu ne me donnes plus de nouvelles, je vais avoir envie de me foutre en l'air, de recommencer mes conneries et de faire de mon corps une garce que les hommes se plairont à salir. Non, je ne te demande pas si tu m'aimes, je te demande juste d'être sincère, de me dire si je vais te manquer ou pas et ne me dis pas que tu ne peux pas savoir à l'avance parce que moi, je suis peut-être un homme facile, mais je sais que loin de toi j'aurai mes lèvres qui chercheront constamment les tiennes et que le goût de ton sexe me fera défaut. Donc dis-moi, s'il te plait, dis-moi autre chose qu'on verra parce que pour une fois j'ai envie que tu traces un peu notre route, que ce soit plus ou moins certain entre nous même si je m'amuserai un peu à foutre en l'air tes plans...

Pourtant j'ai envie de partir pour que tu me manques.

Sun, 07 Aug 2011 15:41:00 +0200

Je suis chez toi à attendre. A t'attendre surtout. Je suis là et je reste un peu abasourdi entre tes mots d'amour, je chante quelques unes de tes louages et le goût de ton sexe reste dans ma bouche. Je me demande combien ça va durer, combien de temps tu me laisseras dire que chez toi c'est aussi un peu chez moi. Je regarde l'heure et étrangement elle ne court plus, elle stagne... Quand tu n'es pas là, les minutes me semblent être des bourreaux qui me coupent le souffle chaque fois un peu plus, qui serrent d'abord la corde pour ensuite m'envoyer dans les airs en ouvrant la trappe du pendu. Alors je regarde autour de moi parce que me savoir chez toi me rassure, savoir que dans trois ou quatre heures tu ouvriras la porte de ton appartement me donne envie de rester. Savoir que tu t'approchas pour m'embrasser me laisse clouer à ton lit. Donc mon nouvel amour je t'attends, certes avec une certaine angoisse entre les poumons, mais avec cette envie folle de te murmurer que toi et moi, pour une fois, c'est pour toute la vie.

Un rancard, deux jours, un homme, du sexe.

Mon, 01 Aug 2011 17:09:00 +0200

"On va dire que durant cinq minutes je t'aime.
Pas plus, pas moins, durant cinq minutes je suis raide dingue de toi..."

Se battre c'est héroïque, admettre c'est judicieux, dire au revoir c'est dire je t'aime.

Fri, 29 Jul 2011 22:44:00 +0200

Je me suis contenté de sourire puisqu'il n'y avait rien d'autre à faire, rien d'autre de plus con, de plus tragique... de plus pathétique surtout. Je t'ai vu levé la main comme ça, comme on agite un drapeau blanc synonyme de paix, tu n'as rien promis avec des pincettes. C'est compréhensible, c'est sûr, on ne quitte pas quelqu'un avec des mots doux puisque mêmes eux nous paraissent dérisoires. Je sais que tu attendais que je te dise quelque chose, que je te retienne aussi probablement, mais que pouvons nous dire ? Le monde s'écroule alors bien sûr qu'on reste sans voix, que le brouhaha de notre intérieur prend le dessus sur celui du monde... bien sûr que trois tonnes de paroles montent à la bouche, simplement les larmes, elles, sont plus fortes, plus lourdes, plus affligeantes alors on se retient. Parce que se faire larguer c'est une chose, pleurer non, ça ne se fait pas... parce que c'est un peu comme le mariage, ça donne une raison stupide de rester. Les larmes, pour les autres, c'est : je t'aime ne me quitte pas. C'est un peu ça au fond mais je crois, pour ma part en tout cas, que c'est, aussi puéril que ça puisse paraitre, la trouille de réapprendre à vivre seul. Alors oui mon Amour, j'aurais eu trois tonnes de choses à te dire, trois tonnes de mots d'amour mais j'ai préféré te laisser partir... Parce que finalement il faut se résigner, parfois le bonheur n'est plus aux bras de la personne qu'on aime, ça même si nous savons pertinemment que toujours nous l'aimerons...

Point barre.

Thu, 28 Jul 2011 23:01:00 +0200

Parlez-moi d'amour sinon je meurs.

Cadeau avant départ.

Wed, 27 Jul 2011 19:51:00 +0200

"J'ai surtout compris comment charmer les garçons !"
"Tu n'as rien compris mon Coeur..."
"..."
"Tu as toujours attiré les gens, ne fais pas ton niais ! "

Je vous pris, mes amours, de pardonner nos prochaines ruptures.

Tue, 26 Jul 2011 19:46:00 +0200

J'ai appris à aimer les enfants, puis les femmes et enfin depuis quelques temps se sont les hommes que j'ai su découvrir. Je suis pris au piège d'un million de désirs, mon corps demande la tendresse de la femme puis la froideur d'un homme triste, je suis à mi chemin entre toi et lui, je regarde à droit, à gauche, je vous vois bien avec vos corps similaires avec vos manières de penser qui se rapprochent avec vos sexes qui différent. Je vous regarde, je prends le temps de bien réfléchir mais mes envies sont changeantes. Homme ou femme je ne sais plus, homme ou femme vous me manquez si je choisis un de vous, dans mon lit c'est un peu de vous tous que je veux. Alors pardonnez-moi si parfois je perds la tête, excusez mes angoisses et mes aller-retour, je suis bien trop volage pour vous appartenir complètement, je suis bien trop bête pour me lier à une femme, bien trop doux pour aimer un homme, bien trop fragile pour choisir. Car entre vous et moi, mes prochains amour, jamais vous me satisferez pour toujours, jamais vous pourrez me faire rester avec vous... Je suis bien trop volage et mes envies sont si changeantes que demain ça ne sera plus sa bite qui gouvernera mon lit mais son énorme ventre de femme enceinte, puis trois ans plus tard ce sera des couilles que j'empoignerai et plus ses seins... Ne vous méprenez pas, c'est comme ça. Je suis trop volage et les cages que sont vos corps pour mes envies m'interdisent de trop m'attacher à vous, de vous aimer comme il se doit car dire non à certaines choses est parfois inconcevable, dire non à l'un de vous provoquerait indéniablement une faille à mon bonheur, à notre bonheur...

Je n'ai jamais su être autre chose que ce que j'étais à un moment donné.

Mon, 25 Jul 2011 19:58:00 +0200

Oui je suis comme ça, je suis ce genre de mec à pleurer devant un film, pour un musique ou en lisant un livre... Moi je suis comme ça, je parle d'amour et je chiale comme je respire.