Quiero.una.historia.verdadera

Je cherche quelqu'un qui me ferait le printemps.

Vendredi 29 juillet 2011 à 22:44

http://quiero.una.historia.verdadera.cowblog.fr/images/293badgleylively091808.jpgJe me suis contenté de sourire puisqu'il n'y avait rien d'autre à faire, rien d'autre de plus con, de plus tragique... de plus pathétique surtout. Je t'ai vu levé la main comme ça, comme on agite un drapeau blanc synonyme de paix, tu n'as rien promis avec des pincettes. C'est compréhensible, c'est sûr, on ne quitte pas quelqu'un avec des mots doux puisque mêmes eux nous paraissent dérisoires. Je sais que tu attendais que je te dise quelque chose, que je te retienne aussi probablement, mais que pouvons nous dire ? Le monde s'écroule alors bien sûr qu'on reste sans voix, que le brouhaha de notre intérieur prend le dessus sur celui du monde... bien sûr que trois tonnes de paroles montent à la bouche, simplement les larmes, elles, sont plus fortes, plus lourdes, plus affligeantes alors on se retient. Parce que se faire larguer c'est une chose, pleurer non, ça ne se fait pas... parce que c'est un peu comme le mariage, ça donne une raison stupide de rester. Les larmes, pour les autres, c'est : je t'aime ne me quitte pas. C'est un peu ça au fond mais je crois, pour ma part en tout cas, que c'est, aussi puéril que ça puisse paraitre, la trouille de réapprendre à vivre seul. Alors oui mon Amour, j'aurais eu trois tonnes de choses à te dire, trois tonnes de mots d'amour mais j'ai préféré te laisser partir... Parce que finalement il faut se résigner, parfois le bonheur n'est plus aux bras de la personne qu'on aime, ça même si nous savons pertinemment que toujours nous l'aimerons...

Jeudi 28 juillet 2011 à 23:01

Parlez-moi d'amour sinon je meurs.

Mercredi 27 juillet 2011 à 19:51

"J'ai surtout compris comment charmer les garçons !"
"Tu n'as rien compris mon Coeur..."
"..."
"Tu as toujours attiré les gens, ne fais pas ton niais ! "

Mardi 26 juillet 2011 à 19:46

J'ai appris à aimer les enfants, puis les femmes et enfin depuis quelques temps se sont les hommes que j'ai su découvrir. Je suis pris au piège d'un million de désirs, mon corps demande la tendresse de la femme puis la froideur d'un homme triste, je suis à mi chemin entre toi et lui, je regarde à droit, à gauche, je vous vois bien avec vos corps similaires avec vos manières de penser qui se rapprochent avec vos sexes qui différent. Je vous regarde, je prends le temps de bien réfléchir mais mes envies sont changeantes. Homme ou femme je ne sais plus, homme ou femme vous me manquez si je choisis un de vous, dans mon lit c'est un peu de vous tous que je veux. Alors pardonnez-moi si parfois je perds la tête, excusez mes angoisses et mes aller-retour, je suis bien trop volage pour vous appartenir complètement, je suis bien trop bête pour me lier à une femme, bien trop doux pour aimer un homme, bien trop fragile pour choisir. Car entre vous et moi, mes prochains amour, jamais vous me satisferez pour toujours, jamais vous pourrez me faire rester avec vous... Je suis bien trop volage et mes envies sont si changeantes que demain ça ne sera plus sa bite qui gouvernera mon lit mais son énorme ventre de femme enceinte, puis trois ans plus tard ce sera des couilles que j'empoignerai et plus ses seins... Ne vous méprenez pas, c'est comme ça. Je suis trop volage et les cages que sont vos corps pour mes envies m'interdisent de trop m'attacher à vous, de vous aimer comme il se doit car dire non à certaines choses est parfois inconcevable, dire non à l'un de vous provoquerait indéniablement une faille à mon bonheur, à notre bonheur...

Lundi 25 juillet 2011 à 19:58

http://quiero.una.historia.verdadera.cowblog.fr/images/251080106707506087831100002457453087645736644577n.jpg
Oui je suis comme ça, je suis ce genre de mec à pleurer devant un film, pour un musique ou en lisant un livre... Moi je suis comme ça, je parle d'amour et je chiale comme je respire.

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